Riolo : "Verratti contre Milinkovic-Savic, c'était une blague"

Riolo : "Verratti contre Milinkovic-Savic, c'était une blague"
Publié le : 30/06/2020 - 09:40

Agacé de voir certains de ses propos être repris, sans en prendre le contexte du moment, Daniel Riolo a tenu à apporter des précisions sur son échange rêvé entre Marco Verratti et Sergej Milinkovic-Savic qui a mis le feu sur la toile.

Interrogé sur les performances de l'international serbe de la Lazio de Rome, annoncé comme étant la priorité de Leonardo dans l'entrejeu, le journaliste de RMC se montrait très séduit par cette idée, pensant même que c'est le joueur qui manque au PSG au milieu de terrain et a lâché une boutade sur Marco Verratti : "Savic est habile techniquement par rapport à son gabarit. Je pense que c’est vraiment le joueur qu’il manque au PSG. Au milieu de terrain, sa taille, son impact et sa technique… Même sa frappe de balle, Paris n’a pas de mecs qui frappent au milieu à part Paredes qui ne s’est pas encore imposé. Il prendrait facilement la place de ton joueur préféré (Ndlr : Verratti, en s'adressant au consultant italien Simone Rovera). Le PSG peut faire un échange Verratti-Milinkovic-Savic. Les boites de nuit ont repris à Rome. C’est ça qui compte pour lui” a-t-il déclaré dans l'After Foot.

Des paroles qui ont mis le feu chez les supporters du PSG et surtout les pro-Verratti, où il a souhaité y apporter des éléments complémentaires ce lundi certainement après avoir passé des dernières heures compliquées à ce sujet : "Il faut que j'arrête de parler avec ce ton-là, car il y a beaucoup de gens qui ne comprennent plus. Il y a des sites qui reprennent et ne comprennent jamais que c'est une blague. L'autre fois, ils ont cru que je proposais sérieusement un deal Sergej Milinkovic-Savic contre Marco Verratti... Que je dis que Milinkovic-Savic est supérieur à Verratti il n'y a pas de problème. Mais que je dis que propose un deal, genre échange de joueur, les mecs ont pris cela au sérieux et cela a fait réagir un tas de "noeuds noeud". C'est toujours pareil, on ne peut plus faire de second degré maintenant..." a-t-il jusfitié dans la même émission.