Ferri et son altercation avec Thiago Motta

Publié le : 14/04/2014 - 09:52 - Dernière modification : 14/04/2014 - 11:58

Buteur contre le PSG pour la victoire de Lyon (1-0), le milieu de terrain lyonnais Jordan Ferri est revenu au micro d'OL TV sur cette rencontre et sur son altercation avec Thiago Motta.

Après cette victoire, le vestiaire était joyeux ?

"On était joyeux, mais on ne voulait pas trop exprimer notre joie, car on les retrouve samedi et on voulait se reconcentrer sur cette finale de la Coupe de la Ligue."

Qu'est ce que vous vous dîtes après avoir battu cette équipe du PSG ?

"Je me dis que l'on a tous fait un gros match et on a été tous très solidaire, car on a marqué ce but en première période et il fallait tenir jusqu'à la fin du match. Il faut féliciter toute l'équipe que ce soit de l'attaquant au gardien, car nous avons été tous très solide et on a réussi à garder ce résultat."

Le fait que vous êtes suspendu pour la finale cela vous a surmotivé ?

"Je me suis dit après la Juventus que ce match serait ma petite finale à moi, car j'étais déçu de ne pas jouer cette finale. Je me suis alors dit que je donnerais tout sur ce match-là. J'ai concrétisé mon envie avec ce but et je suis surtout content de la victoire."

Pouvez-vous nous commentez votre but ?

"J'anticipe la passe de Lavezzi et après je vois Alex qui sort sur moi et j'ai alors qu'une solution s’est enroulée la balle. Sirigu est un peu décalé et cela m'a souri. Je suis allé voir le banc, toute l'équipe, car nous sommes vraiment tous ensemble, ce qui est très important. C'est mon premier but à Gerland et c'est un but décisif qui ramène la victoire, c'est ce qu'il faut retenir."

Vous avez même eu une deuxième balle de but ?

"Cela aurait été encore mieux, mais je suis loin. Je sais qu'avec le rebond je vais tenter la frappe, mais Sirigu fait un bel arrêt."

Qu'est ce qu'il s'est passé avec Thiago Motta ?

"Je ne le connaissais pas, je pense qu'il a appris à me connaître. Je fais ma protection de mal et il me met une gifle. Je joue le coup et je tombe. Après il me parle en italien en ne me disant pas des choses gentilles et je n'ai pas répondu à la provocation, car ce ne sont que des mots. Je l'ai laissé faire."