Buffon, prolongation… : Areola dit tout !

Buffon, prolongation… : Areola dit tout !
Publié le : 21/12/2018 - 13:55 - Dernière modification : 21/12/2018 - 17:56

Ce vendredi à la mi-journée, Alponse Areola était en conférence de presse au Camp des Loges, à la veille du match contre Nantes au Parc des Princes. L'occasion pour lui de parler de sa récente prolongation de contrat et de sa situation au sein du PSG. Interview.

Alphonse, on t'imagine heureux d'avoir prolongé !
Alphonse Areola : "C'était important pour moi de resigner avec le PSG et de m'installer dans le long terme ici. Thomas Tuchel, j'ai énormément confiance en lui, on a beaucoup discuté, c'était important pour moi cette confiance, et la décision s'est prise naturellement. C'est une belle marque de confiance de la part du club de s'engager avec moi sur le long terme, c'est un beau geste, à moi de prouver que je le mérite. J'attendais aussi ma première sélection en équipe de France, très humblement aussi, car il y a Hugo et Steve devant moi. Pendant la Coupe du Monde, j'ai beaucoup donné aussi pour que tout le monde soit prêt pour les matchs (...) La signature, j'y pense depuis un certain temps déjà. C'était important de rester ici et de prouver qu'on pouvait avancer ici en sortant du centre de formation, pour faire grandir le club aussi."

Comment se passe ta collaboration avec Gigi Buffon ?
A.A. : "Je suis satisfait de la situation actuelle et de mon entente avec Gigi. Il a été mon idole, il l'est encore d'ailleurs, et j'ai la chance de m'entraîner avec lui, c'est très bien. Je le regarde beaucoup, on discute beaucoup, j'apprends beaucoup en le regardant, il est très humble. Il répond aux questions si on a besoin, il ne prend personne de haut, c'est le top (...) On a des discussions avec le coach et Gigi avant les matchs, mais ça reste entre nous le déroulé de ces réunions."

Tu seras prêt pour Nantes samedi ?
A.A. : "Je me suis fait un petit blocage à l'échauffement à Orléans, mais au fil des minutes ça s’est refroidi, je n'ai pu repartir. C'est une gêne au dos, on verra aujourd'hui ou demain."