Rabiot met la pression au PSG !

Publié le : 13/07/2018 - 01:42 - Dernière modification : 13/07/2018 - 09:03

Alors que nous vous évoquions ce jeudi que Thomas Tuchel ne posera pas son véto au départ d'Adrien Rabiot, le milieu de terrain a décidé de mettre la pression sur son club formateur.

Sous contrat jusqu'en 2019, Adrien Rabiot est en position de force et n'a pas manqué de le faire savoir à ses dirigeants. D'après les informations de RMC, il aurait annoncé à son club, il y a quelques semaines qu'il ne serait pas contre un départ malgré son amour profond pour le PSG. C'est la raison pour laquelle des discussions sérieuses ont eu lieu avec le FC Barcelone où il se serait mis d'accord, selon la presse espagnole, sur un contrat de cinq avec à la clé un salaire de 7 M€/an.

Rabiot veut le salaire de Verratti !

Une situation qui oblige ainsi au PSG de réagir pour ne pas laisser partir l'un de ses joyaux de son centre de formation. Rappelons qu'Adrien Rabiot n'est pas contre de prolonger son contrat, mais cela doit se faire à ses conditions. C'est à dire avoir l'assurance de ne plus jouer au poste de sentinelle, malgré que les observateurs trouvent qu'il a les caractéristiques pour le faire et il réclame également une forte revalorisation salariale afin d'obtenir le salaire de Marco Verratti, soit 600 000€/ mois contre 285 000€ qu'il touche actuellement.

Nasser Al-Khelaïfi va prendre les choses en main...

Actuellement en Russie, pour soutenir les Bleus, le président du PSG Nasser Al-Khelaïfi ne veut pas entendre parler du départ d'Adrien Rabiot, qu'il considère comme "un fils" comme il l'a dit, et l'a fait savoir par voix interposée au FC Barcelone. Apprenant des leçons du passé, le club catalan va suivre l'évolution de la situation du coin de l'oeil et attendre éventuellement une réaction du joueur pour dégainer. Le patron du PSG devrait donc prendre les choses en main très prochainement car pour le club il est impensable que le joueur parte libre la saison prochaine. Une issue est donc attendue très prochainement car Paris ne restera pas sans réaction.