Pastore se battra pour être titulaire

Publié le : 01/08/2015 - 11:00

Javier Pastore a rejoint ses coéquipiers depuis une semaine seulement suite à la Copa America. L'argentin est donc en retard dans sa préparation par rapport aux autres joueurs et ne pourra pas disputer le Trophée des Champions ce soir, tout comme Ezéquiel Lavezzi.

El Flaco est revenu sur sa prolongation de contrat et sur sa pérennité au sein du club, lui qui est là depuis l'été 2011 soit dès le début de l'ère qatari :

"Je m'étais mis en tête de bien finir la saison et ensuite de discuter. Avec le club, on avait arrêté cette idée mais j'ai toujours senti de la confiance autour de moi. Et c'était ça le plus important. Ce n'est pas la saison dernière que j'avais la possibilité de partir mais plutôt celle d'avant, en 2013-2014. Le club m'a toujours témoigné son soutien. Aujourd'hui, je suis très fier du contrat que j'ai signé et de poursuivre l'aventure au PSG. Je ne sais pas si je suis un symbole. Je le suis peut-être pour les gens du Qatar qui ont pensé ce projet car je suis le premier à avoir dit oui. Mais pour moi, je suis venu ici pour progresser et essayer de gagner la Ligue des champions. C'est bien de poursuivre l'aventure pour atteindre cet objectif principal."

L'argentin a également évoqué l'arrivée de son compatriote Angel Di Maria à qui il reconnaît avoir conseillé de le rejoindre dans la capitale pendant la Copa America :

"Je lui ai dit de nous rejoindre. (Sourire.) Il m'a aussi posé beaucoup de questions sur le club, la ville et sur la vie pour sa famille. Il a envie de venir. C'est un très grand joueur. Le plus, c'est qu'à lui seul il peut gagner des matchs importants. Il fait toujours les meilleurs choix aussi bien pour marquer que pour délivrer des passes. Il va très vite. J'ai beaucoup de confiance en moi et mes qualités. Je ne me focalise pas sur les autres. Après, comme c'est pour le bien de l'équipe, je veux qu'il vienne. Je me battrai avec lui, comme avec les autres, pour obtenir ma place de titulaire."

Propos recueillis par Le Parisien.